lundi 18 mai 2009

Mon chemin de guérison : la FOI

Bon, enfin ! Ça fait au moins deux semaines que je vous promets de vous parler de mes avenues de guérison, mais ma condition physique m'a donné du fil à retordre. Et rappelez-vous que je suis en plein processus de déménagement... J'entreprends donc une chronique sur le sujet en ce beau lundi férié : la fête des jardiniers !!!

(Je vote pour cette appellation, puisqu'on n'arrive pas à s'entendre sur le vrai sens de ce congé : fête de la Reine, pour les anglos; fête de Dollard, pour les francos mais on sait plus c'est qui Dollard ; fête des Patriotes, qui me fait penser au cinéaste Pierre Falardeau avec ses revendications interminables pour la survie de notre peuple... pas que je sois contre, mais je trouve que, par moment, ça devient lourd. Il me semble que nous avons déjà la St-Jean-Baptiste pour souligner notre appartenance au Québec. Le printemps, n'est-ce pas la fête de la nature ?)

Mot d'inspiration

Avant de débuter, j'aimerais vous partager un passage qui m'a inspirée particulièrement sur le sujet de la guérison :
"Notre monde a sa source dans notre conscience : il est le reflet de notre état de conscience ; c'est la conscience qui régit le monde de quelqu'un. C'est la conscience de la vérité qui est la loi du monde, comme l'est aussi l'ignorance de la vérité. Pour celui, par exemple, qui sait chasser les ténèbres avec la lumière, il n'y a pas de loi des ténèbres. Les ténèbres n'ont du pouvoir sur quelqu'un qu'en l'absence de la lumière. De même, en l'absence de la vérité dans cette conscience, ce sont l'ignorance, le mensonge, l'apparence, la discorde et l'inharmonie qui se font entendre. Par conséquent, quand il n'y a pas action de la vérité dans notre conscience, notre monde reflète la chance, le hasard, les croyances humaines, médicales ou astrologiques. Et quand la vérité opère en et par notre conscience, elle se fait loi d'harmonie en notre monde, de sorte que toutes choses en notre être et notre vie reflètent l'harmonie qui est en notre conscience."
(Tiré de Joël S. Goldsmith, L'Art de la guérison spirituelle, éd. Astra, 1997, pp. 173-174)

Quand j'ai lu ce passage, j'ai revu mon oncologue qui ne croit qu'au pouvoir de sa médecine... (lire les quelques chroniques précédentes pour plus de détails) Ainsi, lorsqu'il a péniblement constaté les résultats du dernier examen, il avait perdu tout espoir.

Mon chemin à moi

Bien que je me sois fait reprocher d'écrire parfois "à l'américaine" par ma belle-soeur préférée (Salut, Linda ! Embrasse frérôt pour moi ), c'est-à-dire que je ne finis pas toujours mes histoires sans donner un nouveau rendez-vous pour la suite, je m'arrête ici pour le moment... C'est maintenant l'heure du souper et mon dos commence à me faire sentir qu'il en a assez de cette chaise. Je reprendrai donc mon récit demain matin.

Soyez au rendez-vous !

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