jeudi 19 février 2009

Vous êtes la lumière du monde

En ce lendemain de traitement, mon énergie est affectée par la fièvre qui a tendance à monter en raison d'un médicament en infusion lente pendant 48 heures après le traitement de l'hôpital. Lors de ma dernière séance de traitement, j'ai été confinée au lit à grelotter toute la journée, sans avoir eu la force de prendre une douche ou de manger un repas décent. Juste aller aux toilettes s'avérait un exploit.

Pour contrer ces effets désagréables, j'ai prévu le coup : j'ai tout fait ce que j'avais à faire avant ma visite à l'hôpital, j'ai préparé des repas à l'avance et j'ai demandé à ma nièce et à une amie de venir me visiter à l'heure des repas. Je n'ai donc rien à m'inquiéter pour aujourd'hui.

Quant à cette chronique, je me dépêche à l'écrire pendant que j'ai assez d'énergie pour le faire et je me permets d'emprunter les mots d'un auteur inspirant pour mettre un peu de lumière dans votre journée. Il s'agit de Paul Ferrini, selon ma traduction libre. Alors, voici :

Vous êtes la lumière du monde

"Vous êtes la lumière du monde, mais vous ne le savez pas parce que vous n'avez pas encore regardé assez profondément dans votre coeur. Prenez un moment pour regarder. Prenez un moment pour trouver la lumière qui danse dans la nuit noire à l'intérieur. Voyez ces couleurs éclatantes qui pénètrent les nuages noirs, la main de lumière qui rejoint l'horizon. Avant que vous n'ayez vu la lumière en vous, il vous est impossible de l'apporter au monde."

You Are the Light of the World

You are the light of the world, but you do not know it because you have not looked deeply enough into your own heart. Take a moment to look. Take a moment to find the light that dances in the dark night within. See those deep colors penetrating the black clouds, the hands of light reaching to the horizon. Until you see the light in yourself you cannot bring it to the world.

Briller comme le font les enfants

Marianne Williamson, auteure de nombreux ouvrages inspirants, a écrit ceci dans Un retour à l'amour :
«Notre plus grande peur n’est pas que nous soyons inadéquats. Notre peur la plus profonde est que nous soyons puissants au-delà de ce qui est mesurable. C’est notre lumière, pas notre obscurité, qui nous effraye le plus. Nous nous demandons: "Qui suis-je pour être brillant, merveilleux, talentueux, fabuleux?" En fait, qui êtes-vous pour ne pas l’être? [...] Jouer petit ne sert pas le monde. Se rétrécir devant les autres pour qu’ils ne se sentent pas en insécurité ne fait pas preuve d’une attitude éclairée. Nous sommes tous voués à briller, comme le font les enfants…»


Sur ce, bonne journée !



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